Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/417

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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 4u

se meurt; sa fermeté, V, 442, 447) 45? et 458; son mari la regrettera peu, V, 442, Nouvelle de sa mort plaisanterie déplacée de son père, V, 448 et 44g. Sa contrition a été équivoque; la maladie l’avait rendue méconnaissable, V, 4S2, 4S7 et 458. La gravité de sa maladie lui a fait faire pénitence il y avait en elle, dit Bourdaloue, beaucoup de christianisme, V, 455, 458. Elle a fait jadis un voyage à Lambësc avec Mme de Grignan, VII, 3oo.

Monaco ( Antoine Grimaldi duc .de Valentinois, et plus tard prince de), fils des. précédents. Voyez Valshttsois (le duc de).

Monaco (Anne-Hippolyte Grimaldi de), sœur du précédent. Voyez Dzès (la duchesse d’). Monaco (Jacques-François-ÉIéonor Goyon de Matignon, devenu par son mariage prince de), gendre d’Antoine qui précède, XI, 89’ Voyez l’article suivant.

Moitaco (Louise-Hippolyte Grimaldi, princesse de), femme du précédent. Il y a eu, diton, quelque altercation entre elle et son mari, et ils se sont séparés, XI, 89.

MoircEAux (le président de). Voyez Motocead.

Mokcsaox, auteur d’une épitaphe de Turenne, IV, 209.

Momchï (la petite de), VI, ro6, 125.

MoNDoïrvn.iB (Jeanne de Juliard, dame de), fondatrice de l’institut de l’Enfance, IX, 465.

MoKESSARetms (Mme de), parente des Anfossy, XI, 60.

Monessàrûuks (l’abbé" de), XI,

44 et 45. (l’abbé de), XI,

Moihont. Voyez Macmomt.

Monaco (la ville de), VIII, 36a, 5ao X, 538. Voyage qu’y fait Mme de Grignan en 1672, III, 4i,43,go, 94- Allusion à ce voyage, VI, 371.

Monaco (Louis Grimaldi, prince de), duc de Valentinois, II, i53, 181, 211; IU, 296; IV, 416. Sa femme se meurt; il la regrettera peu, V, 442- U est nommé chevalier de l’ordre du Saint-Esprit, VIII, 36 et 362, 447, 456.

Monaco (Catherine-Charlotte de Gramont, princesse de), fille du maréchal de Gramont et femme du précédent, II, 157, 877 III, 66, 86, 94 et 95, io3, 180, 228, 268, 33o; IV, 37, 46, 197, 327, 549; V, 28. On trouve son portrait dans i les cassettes de Lauzun, II, 44o, 461. Elle est estropiée par une saignée, III, 43. Allusion à ses fonctions de surintendante de la maison de î Madame, III, 2o5. Faveur dont elle jouit chez Madame, III, 212, 247» 52o, 53o; V, ’1 189. Son goût pour Mme de Grignan, III, 289, 296. Elle est inconsolable de la mort de son frère, le comte de Guiche, III, 3o2 et 3o3. Elle est probablement désignée sous le nom du Torrent, III, 319 et 32O, 355 et 356, j 366. Sa mauvaise influence t sur sa belle-sœur, Mme de Lou- vigny, III, 319 et 32o, 366. Sa mauvaise santé, III, 530 IV, 27 et 28; V, i33. Sa jalousie contre la princesse de Tarente, IV, 44r- Elle n’est plus, dit-on, aussi bien auprès de Madame, IV, 5i2. Madame l’embrasse tous les jours, IV, 523. Elle