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432 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Noailles (Jean- François marquis de) et de Montelar, frère du précédent. Sa mère l’a eu à huit mois, IV, 5i5.

NOAILLES (Louise-Anne de), sœur du précédent. Voyez Lavardik (Louise-Anne de Noailles, marquise de).

Noaïiles (les), V, 3g4; X, i83. Noblet (Mme). Singulier emploi qu’elle fait du mot stratagème, III, 507 et 5o8.

Nogaket (Louis de Louet, dit le marquis de), fils du marquis de Cauvisson, VIII, 147 IX, iS4- Reproches que Louvois lui adresse sur le mauvais état de sa compagnie, VIII, 45S. Mme de Sévigné vouch-ait, s’il meurt de ses blessures, que sa veuve épousât le marquis de Grignan, IX, 148. Sa mort, IX, 54a, 548, 56o. Nogaket (Marie Madeleine Agnès de Gontaut Biron, fille du marquis de Biron et d’Elisabeth de Cossé Brissac, marquise de), femme du précédent, V, 80. Mme de Sévigné voudrait que, si le marquis de Nogaret venait à mourir, elle épousât le marquis de Grignan, IX, 148. Elle est nommée dame du palais de la future duchesse de Bourgogne, et part au-devant d’elle, X, 411.

Nogekt (Nicolas Bautru, comte de), V, 428.

Nogekt (Armand Bautru, comte de), fils du précédent, maréchal de camp et maître de la garde-robe. Sa querelle avec Humières, la Châtre et SainteFère, I, 4o3 et 404. Il a été noyé au passage de l’Yssel,III, 109, lit.

Bournon,ville, duchesse et maréchale de), femme du précédent. Son mariage, II, 302. Elle craint les obligations de dame du palais, III, 348. Elle est fort malade, et doit aller dans le Maine, VII, 16.–La marquise de Cauvisson ne lui rend pas visite, VU, 188, 196. Manière dont sera ce- lébré le mariage de sa fille avec le comte de Guiche, VIII, 3o et 3i. Sa grossesse l’empêche d’accompagner son mari en Roussillon, VIII, 5 17 et 5 18. Il est étonnant qu’elle soit allée à Perpignan on ne peut se la représenter ailleurs qu’à Versailles et autrement que grosse, IX, 186. Elle’va assister au mariage de son petit-fils; sa nombreuse postérité, XI, 110.

Noailles (Mlle de), fille des précédents. Voyez Guiche (la comtesse Marie-Christine de). Noailles (Marie-Françoise de), sceur de la précédente. Voyez Lavabduï (Marie-Françoise de Noaîlles, marquise de). Noailles (Louis- Antoine de), frère d’Anne-Jules, qui précède, évêque de Cahors, puis de Châlons-sur-Marne, et plus tard cardinal et archevêque de Paris. Il a refusé l’évêché de ̃̃ Mende; douleur que son éloignement cause à son père et à sa mère, V, 18S et 186. Il est nommé évêque de Cahors, V, 5a 3. Bon accueil qu’il fait au marquis de Grignan, Vin, 373. -Il est dangereusement malade, IX, 3l8. Depuis qu’il est nommé archevêque de Paris, on ne s’occupe plus de lui, X, 307.

1, Voyez ci-dessus, p. 3g, note 1.