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42 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

BONNE-ANSE (la), lieu voisin de Saint-Nazaire. Les ennemis pourraient aisément s’y mettre à couvert en attendant la marée, XI, xxxv.

Bonne-Espérance (le cap de), IV, 321 1

Bonne Femme (la), V, 82, 83, 89, 102. Voyez SOUBISE (Mme de). Bonneau (René), aumônier du Roi, voisin de Bussy à Chaseu, V, 476, 477, 504.

BONNELLE, près de Rambouillet. Mme de Sévigné y couche en allant en Bretagne, II, 222; IX, i3.

BONNELLE (Charlotte de Prie, dame de), marquise de Gallardon. Son insolence envers Mme de Choiseul, III 2 et 3. BONNET, procureur au siège présidial de Nantes. Lettre que lui écrit l’abbé de Coulanges, III, 410-412.

BONNE’IOT (Mme). Sa dévotion, III, 212.

Bonneuil (Nicolas-Auguste de Harlay, se gneur de), gendre du chancelier Bnucherat, V, 2; VII, 482. Il dine chez Mme de Sévigné en se rendant aux états de Bretagne, IV, 211, 233. Il demande trois millions aux états de Bretagne, IV, 238. r est nommé conseiller d’État de semestre, VII, 490. Il est malade, X, 157. BONNEUIL (Anne-Krançoise-Marie Boucherat, dame de Harlay de), femme du précédent, II, 433 et 434, 452.

Bonneuil (de), introducteur des ambassadeurs, VI, 437. Nouvelle de sa mort, VI, 364. Bonneuil (Mme de), femme du précédent, VI, 364.

Bonneval, nom de lieu, XI, i5g, ig3, 194, 221.

BONNEVAL (Jean-François, mar-

quis de) vient à Époisse, III, 250.

Bonneval (Roux de), conseiller au parlement de Provence. Il a la lièvre double-tierce, XI, 149.

Bonneval (Mme de), Julie-Adélaïde de Forbin d’Oppède, femme du précédent, XI, i63, 171, 173, 181, 187, 189, 201, 221.

BONNEVAL (Mme de), belle-Glle des précédents. Voyez Fake (Mme de la).

BONNEVALS (les), XI, 277.

Bonnieux. Il reçoit de l’argent pour Mme de Sévigné, X,

i49-

Bonnivet (Louis Couffier, dit le marquis de), XI, i53, i5g. BoNKEPOS OU BoNKF.PAUS (de) V, 433, 440. Mme de Sévigné voudrait qu’on lui écrivît en faveur du chevalier de Sévigné, V, 3o8.

Bontemps (le petit), IX, 600; X,0, i85.

Bonvoutoir. Voyez HACQUEVILLE (d’).

Bonzi (Pierre de), archevêque de Toulouse, puis de Narbonne, grand aumônier de la Reine, II, 507 IV, 219, 240, 376; V,238,298;VIII,i3,ii9;IX, 6. Il est fait cardinal, II, 517. Sa réponse au Dauphin sur la liberté qu’a le pape de faire cardinal qui il lui plaît, II, 538. Mot de l’abbé Foucquet sur lui, IV, 542. Il trouve des hommes morts de froid sur le chemin de Montpellier à Lyon, VII, 260. Le Roi le présente au roi d’Angleterre, VIII, 4oo. Le Hoi lui fait l’éloge de son neveu, le marquis de Castries, VIII, 540, 543.

Booz. Son histoire est moins