Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/488

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48a TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

344- –Mort de son mari, IV, I 470. IL prie, en mourant, la comtesse de Guiche de venir la I consoler; ce ne sera pas facile, IV, 473. --Elle est inconsolable, ’iV, 491; V, 56 et 07. Elle est malade, et changée au point de n’être pas. reconnaissaHe, IV, 507. Son af- 1 fliction augmente tous les jours, IV, §17. Elle entremêle, dans ses discours, sa douleur et sa tendresse pour Mme de Montespan, IV, 53o. Elle marie sa fille au marquis de Nangis; elle est toujours affligée et malade- elle n’a pas mangé de viande depuis la mort de son mari, V, 46. Elle se cache dans un couvent pendant la noce de sa fille, V, 56 et By.. Mmes de Vins et de SéVigné lui font une visite, VI, iS5. Elle reçoit cent mille francs pou r commencer les habits de la Dauphine, VI, 164. Elle ne parait pas aux fêtes qui se donnent pour les noces dans la famille royale, VI, 194., Magnificence des = habits et des cadeaux qu’elle porte à la Dauphine, VI, 2to. Le Roi la trouve trop jeune pour être dame d’honneur de la Dauphine, VII, 267. Elle est portée dans une même chaise avec la Dauphine et Mme de Maintenon, a une fête donnée à Sceaux, VU, t 43o. La Dauphine, en mourant, lui laisse une bague de cinquante louis, IX, 5o2. Souper qu’elle donne à la duchesse de Chartres, X, 442 ot 443.

Rochefobt (Marie-Henriette d’Àloigny de), fille des précédents. Voyez Nancis (la marquise de).

Rochefort Théoeo». Voyez Théobom.

Rochefoucauld (François- VI duc de la), d’abord prince de Marsillac, l’auteur des Maximes, I, 525; II, 2, 46) 48, 63, 69, 71, 77, 82, 88, 121 et I22, i3? et i38, 140, 141, 142, i55, 172, 17S, 180, ig5, 199, 217,. 236, 245, 2G2, 277 et 278, 3i6, 348, 436, 4S2, 453, 454, 467, 471 et 472, 5io, 5i7, 53i, 538; III, 24, 26, 43, 52, 179, 198, "199, 209, 210, 25g, 388, 33o, 33Ç, 349, 442 et 443(?), 4-57-. 48i, 505, 5i6; IV, 5r, i3o, 419, 5o6, 5i4; V. 104, ia3, 343; VI, 3g, 43, 65, 79, 117, 128, 167, 204, 219, 257, 282, 284, 3i8, 3a7, 328, 382, 387, 439, 474 et 475; VII, 484; IX, ti4, 54o. H dîne tous les vendredis chez l’évêque du t iL Mans, II, io3. Ses plaisanteries sur le prétendu naufrage de Mme de Grignan, II, 104. Il souffre de la goutte, II, ia5; III, i3, 53, 182, 4g5, 5 16; IV, 219. II n’espère plus marcher, II, 160. Son opinion sur Charles de Sévigné, II, 177. Il se moque de Mme de Marans, n, 179 III, j 43. H compte qu’Hébert fera une grande fortune, II, 206. Il fait son fils duc, II, 334; Mme de Sévigné l’approuve, II, 348. 11 raconte à Mme de Sévigné en quels termes le Roi a donné à son fils la charge de gouverneur du Berri, II, 439. Corneille lit chezlui Puiefiérie,H, 470. Sa souris blanche, II, 493. On doit lire chez lui une comédie de Molière, II, Sio. II dîne et soupe chez Gourville, II, 617 III, 3i5 et 3t6, 387 V, 214.–