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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 58i

ThÉguier (l’évêque de). Voyez SAiLtAEi (de), et Sénëohai. (Eustache le).

TiiÉMOunLE (Marie de la Tour, duchesse de la), sœur de Tu- renne, mère du prince de Tarente Henri-Charles, aïeule du duc qui suit. Ses paperasses; on y trouve un portrait de Mme de Sévigné par Mme de la Fayette, IV, 2S7.

Théiiouilijs (Charles-BelgiqueHollande seigneur de la Tré- mouille, duc de Thouars, prince de Tarente et de Tal- mont, appelé le duc de la), fils du prince Henri-Charles de Tarente et d’Amélie de HesseCassel (voyez ci-dessus, p. 56g et 570), IV-, 441, 5i2 et 5i3; VII, 409; IX, 278, 279, 280. Jugement sévère que Mme de Sévigné porte de lui, IV, 3o6. EUe le rencontre à Dol, VII, 433. -Il est reçu à Vitré comme le plus étranger des princes d’Allemagne VII, 460. Sa belle taille, sa laideur, VII, 461. Épigramme que fait sur lui une jeune fille de Rennes, IX, 33o et 33 1. Le Roi lui fait grâce de deux ans qui lui manquent pourre- eevotr l’Ordre; il est le premier des ducs, VIII, 297 et 298. Charles de Sévigné l’attend à Rennes, IX, 2S1", 289, 266. Magnifique réception qu’on lui fait à Vitré; son cordon bleu, joint à sa laideur et à sa belle taille, lui fait une terrible mine sa politesse envers Mme de Sévigné, IX, 268 et 269. La noblesse de Bretagne aime qu’il préside les états, IX, 269. Repas qu’il donne à Rennes pendant la tenue des états, IX, 3oS.

Tbemouille (Madeleine de Cré-

quy, princesse de Tarente, duchesse de la), femme du précédent, II, 27; IV, ï83; VIII, 22 X, 366.

Tkémoitclle (Marie-Victoîre-Armande de la), fille des précédents. Voyez Albeet (la duchesse d’).

i Tkémouti,i,e (Charlotte- Emilie Henriette de la), sœur du duc qui précède. Voyez Altewboues (la comtesse d’).

TnÉMounxES (les la), X, 33g, 353. Théhobiiae Noibmohtœr (de

la). Voyez Noibjioutibji (les ducs de).

TmÉMOUIIXE Noirmoutier (Yolande Julie de la). Voyez Roy/an (la marquise de).

TRENTE (le concile de), IX, 299î Xï 242.

Très-bonne (la), la même que Mme de Guitaut la mère ou que la fille aînée du comte de Guitaut, ou bien quelque amie ou parente de la comtesse de Guitaut, V, 335, 337, 386, 437, 533, 539 et note 5, 549; VI, 409; VII, aïo, 2i3, 217, 229, 236; X, 83 et note 2, 89, 96, 99, io5, 116, i3o, i73.

Tressas.’ (Pierre abbé de la Vergne de). Voyez Vergne (de la). Tbets, près d’Aix, XI, 87. Tbets (Jacques-Joseph de Gaufridy, baron de), avocat général au parlement de Provence. Son avis dans le procès Cadière, XI, 85. Il est pleinement justifié des calomnies dirigées contre lui à l’occasion de ce procès il marie sa fille,

XI, 87.

Teets (Anne-Ursule de Gaufridy de), fille du précédent. Son mariage avec du Bourguet, XI, 83, 87.