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616 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

d’elle au comte de Guitaut, <’ VI, 126 et 127. Chaleur de l’affection de Mme de Grignan pour elle, VI, i38. On croit qu’elle ira bientôt à Saint- Germain ce voyage sera, dit-on, bien triste pour elle, VI, x5o, l55. -Ellevient passer les fêtes de Noël à Paris, VI, i54. Elle doit aller à Saint-Germain, et rejoindra ensuite sa famille, dont le malheur la pénètre et dont elle fait la consolation, VI, i55. Elle ne va pas à SaintGermain son dévouement à sa famille l’honore, VI, 167. Elle est encore à Paris, VI, 179 -On croit que Pompone déplore surtout sa disgrâce parce qu’elle rejaillira sur elle; elle est bien digne de lui in- spirer ce sentiment par tous ceux qu’elle a pour lui, VI, 188. Comment s’est passé son voyage à Saint-Germain, VI, a5o et »5i. Elle est toujours fort aimable, VI, 267. Elle va passer le carnaval à Pompone, VI, 288. Elle vient diner chez Mme de Sévigné, VI, 332. On ne peut être mieux qu’auprès d’elle, VI, 338. Elle n’a plus de contenance à la cour elle se consacre à sa famille, VI, 355, 365. Elle est tout étonnée de ce qu’on lui raconte de la magnificence de M. et de Mme de Grignan, VI, 378. Elle tient fort au cœur à Mme de Sévigné, VI, 38i. Elle ne peut plus souffrir la cour, et se 1 renferme dans sa famille et dans ses procès; prix que Mme de Sévigné attache à son amitié, VI, 418 et 4[9- -Son amour pour sa famille et son éloigne- ment pour ,le monde, VI, 444 et 445. Elle étudie à Pom-

pone la philosophie de Descartes avec un des maîtres de son neveu sa raison, sa sagesse, VI, 444, 489 et 4go, 4g5, 504. Son amabilité; son dévouement à sa famille et A ses amis on plaisante sur la jalousie que doit lui causer le goût de son mari pour une [certaine dame, VI, 494 et 495. Désir qu’elle aurait d’être à Pompone et d’étudier la philosophie, si elle en avait le loisir, VI, 5o5 Elle plaisante avec M. et Mme de Grignan sur sa prétendue jalousie ils lui ont appris le commerce de l’amitié elle doit aller loger à l’hôtel de Pompone, VI, 547. -Elle a gagne son procès elle est à plaindre d’être obligée d’aller à la cour, VII, 18. Elle croit inutile d’écrire à Mme de Sévigné quand elle n’a à lui parler que d’elle-même, VII, 3a8.– Elle et Mme de Grignan ont été voir Monsieur le Prince, VII, 44o. Elle a été en peine pour son mari, VIII, 21 3. Intérêt qu’elle a pris à un procès que viennent de gagner M. et Mme de Grignan, VIII, 62a. Comment M. et Mme de Pompone l’ont élevée, IX, 4r. Elle voudrait avoir, pour précepteur de son fils, du Plessis, qui a élevé le marquis de Grignan, IX, 9S du Plessis ne paraît pas repousser ses propositions, LX, 212; elle désire toujours l’avoir pour son fils, IX, 229, 23o. Son désir de voir le marquis de Grignan; celui-ci aurait dû tout d’abord courir chez elle, IX, 472. C’est une aimable amie, digne de Mme de Grignan, IX, 587. Mentions d’elle au sujet de l’action héroïque de son neveu