Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/7

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TABLE
ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE
DES LETTRES
DE MADAME DE SÉVIGNÉ,
DE SA FAMILLE ET DE SES AMIS.

A

Abarca (Felippe-Maria-Teresa), jeune Espagnole amenée en France par la reine Marie-Thérèse, III, 268.

Abbadie (Jacques), théologien protestant. Eloges de son Traité de la Vérité de la religion chrétienne, VIII, 33, 166, 168-170 IX, 45o et particulièrement du second livre, VIII, 166, 175, 176. Abbadie a combattu victorieusement tous les doutes, VIII, 175, 176. Il a ses envieux et ses censeurs, VIII, 178. Après l’avoir lu, on serait tout prêt à souffrir le martyre, IX, 316, 435. Mme de Sévigné conseille à Mme de Grignan de le faire lire à Pauline, VIII, 427 A A elle demande si celle-ci l’aime comme fait sa maman, IX, 3g. Mme de Sévigné va le relire avec son fils, IX, 326 ils le relisent en effet, IX, 367, 389, 4o3. Il est comparable à saint Augustin, quoique bien différent, X, 47. Bussy veut l’acheter, VIII, 34 il le lit avec sa fille, VIII, 162, 17.Ï et 176. Celle-ci gage qu’Abbadie ne mourra pas huguenot, VIII, 170. Bussy le relira tous les trois mois pendant tout le reste de sa vie, VIII, 172. La lecture d’Abbadie a décidé le comte du Charmel à quitter le monde, VIII, 169. Mme de Sévigné la recommande à Coulanges pour raffermir sa foi, X, 47.

Abbaye-aux-Bois (l’). Mlle de Thianges, nièce de Mme de Montespan, y a été élevée, II, 22.