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Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 14-2.djvu/427

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•SUJ] DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 4i9

J’en fais souvent (de votre mérite) le sujet de mes admirations, et du bonheur que j’ai d’avoir quelque part à l’amitié. d’une telle personne. (VII, 374.)

Dieu fera peut-être de cette ingratitude le sujet de ma retraite et de mon salut. (VIII, 435.)

a° Sua LE SUJET DE, avec un nom de chose

Mon goût s’est trouvé bien juste avec le vôtre sur le sujet d’Esther. (IX, »3.) n..

Le cardinal d’Estrées fait tout ce qu’il peut. pour faire changer le pape sur le sujet du chapeau du cardinal de Retz. (IV, i6G.) Ainsi le voilà (le duc de Chemines) rétabli dans votre estime il faut qu’il le soit aussisur le sujet des députations. (IX, 389, 390.) 3° Sun LE sujet DE, avec un nom de personne

fous sentez les peines du temps à venir sur le sujet de Monsieur votre fils. (Autogr. X, n3.)

Mes pensées sont fort semblables aux vôtres sur le sujet de mon fils. (Gr. VI, 491.)

Je n’ai point eu de curiosité de questionner sur le sujet de sa femme (de M. de la Garde). (Gr. IV, 487.)

J’ai fait ici mes preuves de générosité sur le sujet des disgraciés. (B. I, S07.)

Je lui ai montré (à M. Trouvé) ce que vous dites surson sujet. (Autogr. VII, 333.) 8

II (d- HacquevUle) est témoin de tous mes sentiments il voit mon cœur sur votre sujet. (Gr. If, 301.)

L’état où je suis sur votre sujet seroit parfaitement heureux si. (Gr. II, 164,)

Les occasions renouvellent mes douleurs sur votre sujet. (B. VIII, 3i3.) v

Nous eûmes l’autre jour une grande conversation. sur votre sujet. (B. V, 406.)

Vous voudriez donc que je visse votre cœur sur mon sujet; je suis persuadée que j’en serois contente. (III, 375.)

SUJÉTION.

Les dames du palais sont dans une grande sujétion. (1735,111, 348.) Leur sujétion (des dames du palais) est excessive. (1736, 111, 353.) Les dames du palais sont réglées à servir par semaine cette sujétion d’être quatre pendant le dîner et le souper est une merveille pour les femmes grosses. Si la maréchale d’Humières boude, elle fera mal sa cour; car le Roi veut de la sujétion. (Gr. III, 358.)