.22 2 LEXIQUE DE LA LANGUE [SUR
3° Par-dessus, au figuré, de plus que
Je disois l’autre jour à Mme de Coulanges que Beaujeu avoit eu sur elle l’extrême-onction, et qu’on lui avoit crié « Jesus Maria » (V, 91.)
Il falloit me dire. si cette maigreur sur votre maigreur ordinaire ne vous laissera pas au moins comme vous étiez. (VII, ^3.) 40 Plus que
Évitez sur toute chose le cœur de l’hiver pour revenir. (V, 3n.) 50 SUR LE TOUT, par-dessus le tout, en outre
C’eût été la mesure comble, si la belle Comtesse avoit voulu être de la partie, et sur le tout l’ami Corbinelli. (B. VII, 516.) Il {Charles de Sévigné) s’en est retourné chez lui avec un fonds de philosophie chrétienne, chamarrée d’un brin d’anachorète, etsur le tout une tendresse infinie pour sa femme. (VII, 5a4) 5a5.) 6° Sun, au sujet de, à propos de
Nous admirons, Vahbè et moi, la bonté de votre tête sur les affaires. (Autogr. II, a5a.)
M. Poussy vous instruira de cette intention sur laquelle je vous demande fort sérieusement votre approbation. (Autogr. VII, aïo.) Vous nous dites mille douceurs sur les souvenirs tendres, que vous avez. (Autogr. VII, 4°4-)
(le fermier de Bourbilly) fait encore des folies sur nos réparations. (Autogr. V, 386.)
Il est plaisant de le voir (le jeune marquis de Grignan) agir naturellement sur la conservation de ses menus plaisirs. (Gr. IX, i54.) Mme de Vins m’est revenue à la pensée. sur ce séjour de Fontainebleau, où elle étoit si agréablement. (Gr. VI, 418.) Ce que vous me mandâtes. me fait vous exhorter encore à conserver en vous la noble tranquillité que je vous ai toujours vue sur le succès de cette affaire. (VII, 17a, 173.)
Je ne sais point ses desseins (de Corbinelli) sur son départ. (VII, 173.)
Vous dites que je ne vous ai point écrit sur le mariage de ma nièce. (B. VII, i97.)
Ils (Mme de Fins et Pompone) me viennent d’écrire tous deux sur ma maladie. (IV, 35a.)
Vous souvient-il que vous me dites une fois, sur une mort de père ou de mère, que vous aviez attendu longtemps ma lettre ? (B. V, 356.) Je veux voir M. de Louvois sur votre frère, qui est toujours ici sans congé. (V, 137.)
