Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/135

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INTRODUCTION. mg O Q I 7 I O Grignan, a qua, on le sant, les hautes études ntétapliyst- ques ne répugnaient pas, avait-elle eu la pensée d’é- crîre, à l’imita·tion <le Pascal, cles lettres de controverse philosophique ou religieuse, adressées à divers, et, cette pezsaëz, u«:È<z.•l·M·*t, ~rrJ:·:gt2:h·e€•}:, <à ‘;.‘lS§'tfZ»"·.?.t‘l‘.!1£2,'I (ves kürœs, vl les publier peut-être ? —- , L°ensemble du texto ct surtout Pexpression Mardis qui s’y trouve pourraient le faire croire. Lentreprise ef- fectivement eût été téméraire. Mais rien dans la corres- pondance ifautorise cette conjecture, et nulle part ail- leurs il nlest question de ces lettres pr0vcn_çale.s·, serai·er.·t grec.-:-être restées ·t,eujc«:.·:s une énigme sans la découverte du nouveau manuscrit. Ce dernier va nous rendre le vrai texte, et nous per- — mettre de retrouver le vrai sens de ce passage, que de bien petits changements- avaient sufn pour dénaturer cœmpmeïemenï. Mme cle Sévigné avait écrit : « Je vous trouve bien hardis d’asseml>le1‘ vos têtes proven- çales; et q_u’e12 voulez-vous faire., bon Dieu' P » Ainsi concu le passage est encore obscur, mais il s’cx- plique fort bien par la suite de la correspondance. Par . cnw; fvsxpzœwban *g1}?2*J1=te¢qt&·, ·¢/0:. êîfes prwrengœéss, qzzi es? parîaëëazpezzz àazzs }0 20; 0: z}<a>2.s· Baz 222«222}è=2~0 (E0 Taxa- teur , ·Mmc de Sévigné désignait certainement la no-, blesse cle Provence fics têtes, les sotnmités cle la pro- vince!) qu’il était en efl`et question alors dhssembler, ea~c·lrcr÷t Ã\:’\Ti’S' pins Mai', Pe S· _§zr«rvi*er· :376*, la in·èr1¢· ms- 1. Msc., tome II, p. M3. I