î, DE MADAME DE SÉVIGNÉ. Mg Col; comment êtes-vous ensemble? Cause?. un peu avec I 67 I moi, ma petite, quand vous aurez le loisir. D J e suis servante de Monsieur le premier président *3 : ménagez tout, et me manclez quand votre alïaire Sera faite"'. Adieu, ma très-chère enfant ; je suis si absolument et si entièrement à vous, qu’il n’est pas possible d’y ajouter la moindre chose. I e vous prie, que je baise vos belles joues et que je vous embrasse tendrement; mais cela me fait pleurer! 3. ····‘ DE MÃDAME DE SÉVIGNÉ A MADAME DE GRIGNAN 1. Paris, vendredi 17* avril. ( MME DU PUY··1>U-FoU* prit la peine, l°autre jour, de ‘ IS. Henri de Forbin Meynier, baron d’Oppède, premier prési- dent du parlement de Provence, qui mourut quelques mois après (en novembre rfiyx); voyez la note II de la lettre IIS (II, 15). 14. Toujours l’af`f`aire des gardes. Mme de Sévigné comptait pour la réussite de cette affaire sur les bons offices du baron d’Oppède; voyez la lettre 149 (2* alinéa de la 30 partie, datée du 27 mars, H, 132), et la Notice, pages 125 et suivantes. I _ Lnrrnn 3 (fragments inédits). -— I. Ces fragments font partie de la lettre 158 (II, 1-70). La partie principale de la lettre se trouve reproduite en entier dans notre manuscrit, tome IV, pages nôx et suivantes, mais la suite (écrite chez Mme de la Fayette) ne s’y trouve pas; le Grosbois contient un extrait de la lettre principale, et, comme notre manuscrit, ne contient rien de la suite. 2. Madeleine de Bellièvre, marquise du Puy-du-Fou, scoondc
