DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 2.51 un peu dévaliser notre petite ’ et vous donner une grande --x 6 7 I partie du beau linge qu'elle 2;, dont elle n`o.ure plus all 1 lhire; cela vous épargnera bien de liargent : je vous ‘ npporterai cette manière de layette. Mandez-moi bien, ma bonne, comme vous êtes : j°aî cette pensée unique- ment dans l'esprit. Voilà une réponse que je vous ‘ prie de faire tenir au marquis d`Oppède°. , Votre premier présiclentl m°a fait une réponse qui est tout 'sucre et tout miel. Je vois très-souvent cles lettres de Monsieur de Marseille. de la lettre 163 (II, xgô); la lettre entière se trouve dans notre manuscrit, tome '[V, pages 277 et suivantes; le Grosbois n’e¤ con- tient aucun extrait. . ` 2. Marie-Blanche. Mme de Sévigné avait reçu la confidence de la nouvelle grossesse de sa fille. Voyez la note r: dela lettre sui- vante. · . 3. Jean-Baptiste de Forbîn Meynier, marquis d’Oppède, fils du. premier président du parlement de Provence; voyez ci-dessus la note 13 de la lettre 2, et dans la Correspondance administrative glu règne Je L0uî.c!1'IV, publiée par J. B. Depping (tome I, page 3g x), la lettre du comte de Grignan à Colbert (lu 13 novembre x6';: : ¢¢ Vous aurez déjà appris par M. le marquis d'Oppècle la perte que nous avons faite de M. son père, etc. » Comparez la note 1 de la lettre 25: (II, 511), la note :0 dela lettre S45 (III, 276), et plus loin, dans ce recueil, la note 7 de la lettre ·;g. 4. Voyez les notes 13 et :4 de la lettre 2 ci—dessus.
