Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/280

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i I — 265 LETTRES INÉDITES ,6,, I en peine de votre séjour°, de votre sauté; j`eu suis triste et saisie, et bien souvent il faut que feu pleure, afin de ne pas étoulïer. Adieu, mon ange. Je suis pressée; je verrai demain 1lippert°. Assurémem: je vous baise, et vous embrasse, et vous tend les bras : hélas! venez! M. de Coulauges vous adore ; sa femme vous em- brasse; Mme Se:1r1·ou" vous dit cent douceurs. Suscrâbtion : Pour ma trop chère et trop aimée. 5. Voyez la fin du 3* alinéa de la partie imprimée de notre lettre (U, M8?. _ _ 6. Membre cl’une famille dévouée au comte de Grignan; voyez la·note 7 de Ia lettre 139 (II, 81), et les corrections et additions à cette note fddditlozzs et corrections, page 48}. y. Mme Scaxjron avait soupé ce jour-là même, avec Mme de Sé- vigné, chez Emmanuel de Coulanges, chez qui ln marquise s’<-Etait retirée avec sa petite-Elle (Marie-Blanche), pour fuir « Pair de la petite vérole n, qui régnait dans sa maison; voyez la partie impri- mée de notre lettre (II, 449). — Mme Scarron, très-liée avec Mme de Coulanges, soupait habituellement, à cette époque, chez Em- manuel de Coulanges (et DODICIICZ Mme de Sévigné, comme Pa cru M. VVzxlckenaer, Ménzoires, tome IV, page gn, note 3); voyez · Ie dernier alinéa de la lettre 252 (II, 514), et confère; les notes lg et IQ de la lettre II ci-après.