4 DE MADAME DE SÉVIGNÉ. $87 lp,. -— ne nmnamn on sévreufz A MADAME nneiuemtsm ô_ ,, 7 U ET AU COMTE DÉ GRIGJXAJS l. Aux Rochers, ce I3? HOV8H1l)l’e×:l * _i A MADAME DE G}lIGNLN· ’ I Il il U . J ‘ADMIRE les abbés de Grignan de ne pas dire quand ils ont reçu une lettre de change; leur Yiiaine paresse- me fait aimer la ponctualité. Je plains`le·Coadjt1tetu‘ de ne Iîoint aflermer son abbaye ’*` : voilà comme nous sommes; il ne faut compter que sur un quart cle SOII 1`6VGIlU, Cll qllBI1Cl 011 HC d€II1Gl1l`B POIDIZ Cl1€Z SCI, Bl, q\l,O]l nly mange point. ses clenrees, je ne Sais pas trop bien comme on peut Faire. Vous êtes encore mieuxiquenousè ` M. de Valbelle "au moins a cles pistoles, qui travaillent nuit et jour; ici tout est glacé. Nous sommes fort en Lwrrnxt 42 (fragments inédits)..-- r. Ces fragments font partie de la lettre 467 (IV,··n26); la lettre entière se trouve dans notre manuscrit, tome II, pages 183 et suivantes; le Grosbols en renferme des extraits étendus, qui, ont fourni aux derniers `écliteurs quelques passages inédits, qui ne sont pas, par malheur, exempts de fautes. Signalons seulement celle qui se. trouve dans le passage auquel se. rapporte le note 3 de la lettre IHIPPIEDÉG (IV, 227)¥ au lteu deux, c<Vous ne me parlez point fle Monseigneur ng il faut lire :i« Vous " ne me parlez point (lu Jfonscîgrzeur 1); et ces mots n‘on\: pas trait, comme on Pa cru, â M. de Grignan; ils se rapportent à la querelle gm- le tîtœ de Jmmseignèur, dont il est plusieurs fbis question çluus , t. . 1 ..,.. ,. la correspondance; voyez notamment les lettres .432; 436 et 547, ` des rg et 27 août et du 20 septembre précédents (IV, 62, noté 9; idem, 94 ct 95, notes r2 et 13; idem, 138, note 2); et Voyer. aussi Vïalckenner, Méniôi1·c.¢,> tome IV, pages 278 et suivantes. l` ' _ Q. Uabbaye que le Ro ui avait donnée en 167:; voyez e er- · · nier alinéa cle la lettre 306 (HI, ry! et 172). ï ' 3. Étaît—ce le trésorier des États de Provence? Il y avait un che-
