Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/7

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

·· Au moment ou, après un trdvail—plein d`attrait, ^ , poursuivi aveoiardeur, nous eyions parvenu à reîmir A · les premiers elements de ees deuco volumes, dont L . _ nous espeîvons pouvoir bientot faire jouir le pztolicf ' nous avons été sulzitement frajyaë dans notre af- - · fection la plus enère. Celle à cote' de laquelle 7 s’eboulazent avec douceur toutes les heures de notre vie, la mère de nos enfants, la joie et l’lzonneur de ‘ notre foyer; celle gui partageait si lzien tous nos “_,_

   gouts, et particulierement notre admiration pour

Jizne cle Sevizgne', admiration ou'elle avait même » . pour aùzsi dire ùzspiree, car la sie1z1zë"”avaz`t ckvunce la notrefcelle gui etait si heureuse et si nère de notre deîrouverte, et dont le sourire plein de grace et de tendresse a si souvent releve' nos forces quand le decouragement menaçait de nous atteindre; celle — gui jusgziau dernier jour, jusgzia Ia dernière heure, jusgu’au dernier soupir, a é'te' notre com- " peigne` de-vouee et lviemaùnee, `-—-· nous était ravie