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le foutre sur son visage : celui du ventre enfonçait un instant, tour-à-tour, les quatre vits dont il était chargé et les faisait ensuite éjaculer sur le clitoris : en très-peu d’instans, par ces procédés, Olimpe fut couverte de foutre ; plongée dans la plus délicieuse extase, elle ne disait mot, on n’entendait d’elle que quelques soupirs, on ne distinguait sur son corps que des frémissemens. Quand tous les vits furent branlés, les deux masturbateurs sautent sur elle, un la prend dans ses bras, l’enconne, expose les belles fesses d’Olimpe à son camarade, qui s’en empare et les sodomise ! tous les vits, pendant qu’Olimpe fout, lui repassent tour à tour dans la bouche, elle les ressuce, les repompe encore tous les uns après les autres, et décharge comme une bacchante.

Eh bien ! me dit-elle en se relevant, es-tu contente de moi ? Oui, lui dis-je, encore toute égarée moi-même du plaisir que je venais de goûter avec les cinq femmes, en l’examinant ; oui, sans doute, je suis assez, contente ; mais l’on peut faire mieux, et je vais t’en convaincre.

Les jeunes filles sont aussitôt chargées par moi du soin de faire rebander les jeunes