Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 8, 1797.djvu/133

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ployons pas, nous enculeraient tour-à-tour. Olimpe, que je n’aurais pas cru si libertine, ne changea qu’une chose pour elle à ce tableau ; elle voulut baiser un cul, au lieu de sucer un con ; et la putain, d’elle-même et sans conseil, toute pleine de mes idées, mordit si vivement ce cul qu’il en saigna. Je ne me contraignis plus, et saisissant les tetons de celle dont je gamahuchais le con, je les lui comprimai de manière à lui faire jeter les hauts-cris ; en ce moment Olimpe déchargea. Ah ! je te tiens friponne, lui dis-je, tu commences à soupçonner du plaisir à la commotion de la douleur imprimée sur les autres ; je me flatte de te mener bientôt plus loin.

Après avoir été enculée dix fois de suite, nous présentâmes le devant : une fille, accroupie sur nos fronts, nous faisait à-la-fois baiser et son con et ses fesses ; une seconde nous chatouillait à deux mains le clitoris et le trou du cul ; on nous enconnait pendant ce tems-là ; nous déchargions… nous nagions dans un océan de délices ; la bouche eut son tour ; nous suçâmes tous ces jeunes gens, nous les fîmes tous décharger dans nos bouches ; deux filles pendant ce tems-là, nous suçaient à-la-fois l’anus et le clitoris :