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Dieu suprême, quand j’aurai péché et que je m’affligerai devant toi, ce ne sera point parce que tu es un être qui punit, mais ce sera parce que tu es un être qui pardonne.
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La vérité avait paru, et à sa présence les aveugles voyaient, les sourds entendaient, les boiteux marchaient droit, et les malades étaient guéris.
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Tu t’es montrée, doctrine humaine, et ceux qui voyaient sont devenus aveugles, ceux qui entendaient sont devenus sourds, ceux qui marchaient sont devenus boiteux,