Page:Saint-Martin - Esprit de Saint-Martin, 1836.djvu/133

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180

Dieu suprême, quand j’aurai péché et que je m’affligerai devant toi, ce ne sera point parce que tu es un être qui punit, mais ce sera parce que tu es un être qui pardonne.

181

La vérité avait paru, et à sa présence les aveugles voyaient, les sourds entendaient, les boiteux marchaient droit, et les malades étaient guéris.

182

Tu t’es montrée, doctrine humaine, et ceux qui voyaient sont devenus aveugles, ceux qui entendaient sont devenus sourds, ceux qui marchaient sont devenus boiteux,