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À LA PRINCESSE

si je ne m’arrête, je vais faire une homélie.

Je mets à vos pieds, Princesse, l’hommage de mon tendre et respectueux attachement.


CXXVI


Ce 21 octobre 1865.
Princesse,

Je n’ai pas oublié votre gracieux désir sur Christel[1] : la voilà. C’est trop court pour une nouvelle, ce devait d’abord être un petit poëme en vers. Telle qu’elle, elle se met à vos pieds. Mon ambition serait que cela parût vrai : tout est invention.

Avec mille hommages de respect et de dévouement.

  1. C’est une nouvelle de M. Sainte-Beuve, recueillie dans ses Portraits de Femmes.