Page:Sand - Évenor et Leucippe, Garnier, 1856, tome 2.djvu/304

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L’aïeul était rentré dans le sein de Dieu après de longs jours dont l’innocence n’avait pas été tout à fait inféconde, puisqu’il avait encouragé les progrès relatifs de sa nombreuse postérité autant qu’il lui était donné de le faire. Après lui, ces progrès furent pourtant plus rapides dans un certain sens, mais ils prirent un caractère dangereux, faute de lumières suffisantes.

Parmi les compagnons d’enfance d’Éve-