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TROISIÈME PARTIE

JOURNAL D’UN SOLITAIRE À PARIS.


Ce manuscrit serait un peu obscur si le lecteur n’était au courant du double amour qui s’agitait dans le cœur de notre héros. Nous avons pourtant cru devoir conserver les lettres initiales qu’il avait tracées en tête de chaque paragraphe, selon que ses pensées le ramenaient à Isidora, ou l’emportaient vers Alice.




I. — Je me croyais jadis un grand philosophe, et je n’étais encore qu’un enfant. Aujourd’hui je vou-