Page:Sand - Questions d’art et de littérature, 1878.djvu/88

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Au surplus, comme on peut le croire, les prolétaires ne manient pas seulement le vers ; ils écrivent fort bien de sages pensées en prose. Et, comme s’il venait à point pour nous être en aide et prouver notre assertion, voici un jeune ouvrier typographe et graveur qui nous remet, à l’instant même, une Notice sur l’infortuné Boyer. Cette Notice ne peut être mieux annoncée[1] qu’en compagnie des poëtes du peuple.

Novembre 1841.
  1. Elle a été publiée dans la Revue Indépendante.