Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome I, 1831.djvu/106

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rée d’un souper assez brillant pour la circonstance : force flacons de vin mousseux, force bouteilles de liqueurs, des fruits, des friandises pour les dames, le tout disposé d’une façon vraiment galante par le perruquier et ses servantes, grandes Béarnaises à l’œil vif, qui avaient un peu compromis, dans Tarbes, la moralité, jusqu’alors intacte, du propriétaire de ce galant manoir.

Comme celui-ci ne pouvait s’approcher de Laorens, sans éveiller les soupçons de la pauvre Rose, toujours fort ignorante de ce qui se tramait autour d’elle, il prit Horace à l’écart,