Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome I, 1831.djvu/191

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Quand la Primerose reparut, le soprano ronflait sous la table, le tyran embrassait la duègne, M. Robba déclamait, sans être écouté, une tirade de Cinna, et Laorens voyait tout danser devant ses pupilles dilatées. Le signe que fit la Primerose ne fut compris que d’Horace : tout ce que Laorens put faire fut de se laisser soutenir par son ami, et de se laisser entraîner dans le jardin.

« Messieurs, dit la Primerose, en les arrêtant sur la porte, est-ce que vous êtes deux ?

« — C’est tout au plus si nous sommes un, répondit Horace en lui jetant sa bourse.