Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/176

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LA DAME DB NIORT 165 LA DEMOISBLLB* Cependant, ponr la province, nous pouvons donner quelque chose d’assez ressemblant pour cent ou cent cinquante francs. LA DAIIB DE NIORT m lève, TiTemeat. Cent cinquante francsi... Bonté divine !... mais c’est beaucoup plus que je ne veux y mettre. Décidément, mademoiselle, c’est trop cher. Elle M dirige Ten la porte. LA DEMOISELLE, m prédpitaat entre elle et la sortie. Pourquoi madame ne se contenterait-elle pas d*un air de famiUef Je lui passerais la chose à moitié prix. LA DAME DE NIOBT. C’est ponr mon mari,... ^ LA DEMOISELLE. Raison de plus. Il sait bien comment vous êtes faites, lui. LA DAME DE NIORT. Assurément. LA DEMOISELLE. Un portrait ne peut rien lui apprendre de nouveau. LA DAME DE NIORT» Vous avez raison. LA DEMOISELLE. Cela n’a pas besoin d’être aussi ressemblant pour lui que pour un autre. LA DAME DE NIORT. Je suis de votre avis. LA DEMOISELLE. Et puis, qu’est-ce qu’on cherche dans ces choses-là ?