Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/48

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LE MARQUIS ERNBST 37 UEGTOB. Monsieur le marquis I (▲ put.) Je trouve même quMl court après son argent. ERNEST. Ah I voilà comme tu me récompenses, drôle, de ne pas Savoir jeté à la porte hier au soir, pour m’avoir fait attendre moi, ton maître. Eh hien, à présent, je t*y flanque à la porte... j’en ai assez de toi, je te renvoie, je te chasse... tu vas me tourner les talons... d’ici une heure, il faut que tu sois parti. Hé quoi, faquin 1 tu m’entends dire que j’attache la plus grande importance à ce que cette porte reste close ; et le premier usage que tu fais de mon secret, c’est de tâcher de le violer. Eh bien, sache-le, misérable, il n’y a pas de secret... c’est une épreuve... c’est un piège que je t’ai tendu, parce que je me méfiais de toi... pas ça de secret, tu m’entends ; mais je voulais être fixé, j’ai pris par la porte de service... et j’ai sonné... HECTOR. Comment, tous ces coups-là... c’était monsieur... ERNEST. Cane te regarde pas 1 HECTOR, arec noUesM. Alors monsieur le marquis pourra témoigner que i’ai lutté. IlBorU ERNEST, le pounairant de oo eri Pas de secret 1 pas de secret I tu.