Page:Sedaine - Théâtre.djvu/317

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M. Vanderk père.

Eh bien ! eh bien ! Antoine ! eh, mais, la tête lui tourne aujourd’hui.

La tante.

Cet homme est fou, il faut le faire enfermer, il faut le faire enfermer.

M. Vanderk père.

Paix, Antoine. Voyez à nous faire servir.

M. Vanderk fils, en souriant à M. d’Esparville fils.

Il est fou ! il est fou ! (Ils sortent.)

Antoine.

Je ne sais si c’est un rêve. Ah ! quel bonheur ! il fallait que je fusse aveugle… Ah ! jeunes gens, jeunes gens, ne penserez-vous jamais que l’étourderie, même la plus pardonnable, peut faire le malheur de tout ce qui vous entoure ?