Page:Segard - Le Mirage perpétuel, 1903.djvu/106

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Refrène ta violence,
Ô mon cœur tumultueux,
Ne savoure qu’en silence

Tes souvenirs orgueilleux,
Sois impénétrable et tendre,

L’heure viendra, sache attendre !