Vos majestés — pourraient, en vertu du pouvoir souverain qu’elles ont sur nous, — signifier leur bon plaisir redouté, comme un ordre plutôt — que comme une prière.
Nous obéirons tous deux ; — et tout courbés, nous nous engageons ici — à mettre libéralement nos services à vos pieds, — sur un commandement.
— Merci, Rosencrantz ; merci, gentil Guildenstern !
— Merci, Guildenstern ; merci, gentil Rosencrantz. — Veuillez, je vous en supplie, vous rendre sur-le-champ — auprès de mon fils. Il est bien changé !
Que quelques-uns de vous aillent — conduire ces messieurs là où est Hamlet !
— Fasse le ciel que notre présence et nos soins — lui soient agréables et salutaires !
Amen !
— Mon bon seigneur, les ambassadeurs sont joyeusement — revenus de Norwége.
— Tu as toujours été le père des bonnes nouvelles.
— Vrai, monseigneur ? Soyez sûr, mon bon suzerain, — que mes services, comme mon âme, sont voués — en même temps à mon Dieu et à mon gracieux roi.