— Ni cloche, ni bréviaire, ni cierge ne me fera reculer, — quand l’or et l’argent me font signe d’avancer. — Je laisse votre altesse…
Grand’mère, — si jamais je me souviens d’être dévot, — je prierai pour votre beau salut. Sur ce, je baise votre main.
— Adieu, gentil cousin.
Cher cousin, adieu !
— Viens ici, petit parent ; écoute, un mot !
— Viens ici, Hubert.
Ô mon doux Hubert, — nous te devons beaucoup. Dans cette enceinte de chair — il est une âme qui te compte pour son créancier, — et qui veut te payer ton dévouement avec usure. — Ah ! mon bon ami, ton serment volontaire — vit là, tendrement caressé dans mon cœur. — Donne-moi ta main… J’avais une chose à te dire ; — mais je la réserve pour un meilleur moment. — Par le ciel, Hubert, j’ai presque honte — de te dire quelle sincère estime j’ai de toi.
— Je suis bien obligé à votre majesté.
— Bon ami, tu n’as pas encore de motif pour dire cela,