rable — qu’aucun subside accordé jusqu’ici — par le clergé à ses prédécesseurs.
— Et comment cette offre a-t-elle été reçue, milord ?
— Sa Majesté l’a bien accueillie ; — mais elle n’a pas eu le temps d’entendre — (comme j’ai vu qu’elle l’aurait désiré) — l’exposé détaillé et clair — de ses titres légitimes à certains duchés — et généralement à la couronne et au trône de France, — titres qu’elle dérive d’Édouard, son arrière-grand-père.
— Et quel est l’incident qui vous a interrompu ?
— L’ambassadeur de France, à cet instant-là même, — a demandé audience ; et voici venue, je crois, l’heure — fixée pour sa réception. Est-il quatre heures ?
Oui.
— Entrons donc pour connaître l’objet de son ambassade, — que du reste je pourrais déclarer par une facile conjecture, — avant que le Français en ait dit un mot.
— Je vous suis ; il me tarde de l’entendre.
— Où est mon gracieux lord Cantorbéry ?