travailler — à gagner l’amour de la communauté ; le duc gouvernera l’Angleterre. »
Si je vous reconnais bien, — vous étiez l’intendant du duc, et vous avez perdu votre office — sur la plainte de ses tenants. Prenez garde — d’accuser par rancune une noble personne, — et de perdre votre âme plus noble. Prenez garde, vous dis-je ; — prenez garde, je vous en conjure ardemment.
Laissez-le continuer… — Poursuis.
Sur mon âme, je ne dirai que la vérité. — Je déclarai à milord duc que le moine pourrait bien être déçu par les illusions du diable, qu’il était dangereux pour lui — de songer à tout cela, et qu’il devait craindre — de forger quelque dessein qui, une fois dans son esprit, — pourrait bien être mis à exécution. Il répondit : Bah ! — cela ne peut pas me faire de mal. Et il ajouta — que, si le roi avait succombé dans sa dernière maladie, — les têtes du cardinal et de sir Thomas Lowel — seraient tombées.
Quoi ! tant d’acharnement ! Ah ! ah ! — Il y a de la perfidie chez cet homme. Peux-tu en dire davantage.
— Oui, mon suzerain.
Poursuis.
Une fois, à Greenwich, — quand Votre Altesse eut réprimandé le duc — à propos de sir William Blomer…
Je me rappelle — cette circonstance. Bien qu’il fût engagé à mon service, — le duc l’avait pris au sien. Mais continue : après.