Hélas ! milord, je ne peux pas me battre. Au nom du ciel, prenez en pitié mon cas ! la rancune d’un homme prévaut contre moi. Oh ! que le Seigneur ait pitié de moi ! Je ne serai jamais en état de porter un coup. Ô Dieu !… mon cœur.
— Maraud, il faut que tu te battes ou que tu sois pendu.
— Qu’ouïes mène en prison ; le jour — du combat sera le dernier du mois prochain. — Viens, Somerset, nous allons aviser à ton départ.
Venez, mes maîtres, la duchesse, je vous l’ai dit, attend l’accomplissement de vos promesses.
Maître Hume, nous sommes tout prêts. Sa Grâce veut-elle voir et entendre nos incantations ?
Oui, pourquoi pas ? Ne doutez pas de son courage.
Je l’ai entendu citer comme une femme d’une invincible énergie. Mais il sera bon, maître Hume, que vous soyez là-haut près d’elle, tandis que nous serons occupés ici-bas. Ainsi, partez, je vous en prie au nom du ciel, et laissez-nous.