Page:Sicard - Le Laurier Noir, 1917.djvu/107

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YSEULT


          Yseult, sur ton balcon du Rhin
          Entouré d’un vitrail gothique,
          Tes grands yeux bleus cherchent sans fin
          Les chères ombres romantiques.

          Gœthe s’est tu, Wagner est mort.
          Ton livre tombe avec leur gloire ;
          Le beau fleuve noie ses accords,
          Le vent crispe la Forêt Noire.