Page:Siefert - Rayons perdus.djvu/181

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« Allez, allez, dit-il, mes petits bienheureux,
« Laissez-moi seul auprès de votre bonne mère. »
Et, poussant un soupir profond & douloureux :

« Ah ! devant ces enfants je sens mieux ma misère,
« Et combien ma science est peu de chose en soi.
« Je veux connaître aussi la chose nécessaire :

« Toi, qui m’apprends l’amour, enseigne-moi la foi ! »