Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/174

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Moi je demeure et me souviens ;
Car ils sont loin de moi les biens
Dont le temps a brisé la trame.

En fuyant vers un ciel plus beau,
Gardez la moitié de mon âme.
— L’autre est déjà dans le tombeau !


Juillet 1881.