Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/204

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V


D’un rayon d’aurore attaché,
L’arc radieux de ton sourire
Ferme et tend, sur un trait caché,
Sa courbe adorable à décrire.

Il se rouvre sur le sillon
De la flèche au ciel envolée
Comme le vol d’un papillon
Se rouvre sur la brise ailée.