Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/212

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IX


Comptant les grâces immortelles
Qui font l’honneur de ta Beauté
Et dont les puissances sont telles
Que j’en fus à jamais dompté,

De t’avoir sans relâche aimée,
Même d’un amour méconnu,
Dans mon âme à l’espoir fermée
Un immense orgueil est venu.