Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/251

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L’immensité m’est-elle, à ce point, sans pitié
Que mon âme vers toi s’en aille, par moitié,
L’autre ne me restant que pour souffrir et vivre,

Sans même qu’à la tienne un écho fraternel
Vienne conter tout bas mon tourment éternel
Et que je vais mourir du mal dont je m’enivre !