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Tel je le vois passer, le cavalier de fer,
Au seul vent de ses pas découronnant les cimes,
Tel un amour cruel et venu de l’enfer,
Un jour traîna mon cœur vers d’éternels abîmes !
Tel je le vois passer, le cavalier de fer,
Au seul vent de ses pas découronnant les cimes,
Tel un amour cruel et venu de l’enfer,
Un jour traîna mon cœur vers d’éternels abîmes !