Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/79

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Ta peine, ô chère créature,
A mis mon âme à la torture.
De tes soucis je suis jaloux.

Que n’écoutes-tu ma prière ?
Ne regarde plus en arrière.
Souris ! ton sourire est si doux !

                      ***

Vous voir chaque jour, vous entendre
Et, plein de désirs insensés,
De votre pitié tout attendre ;
Est-ce assez ?