combattu les Hiong-nou), 17 avril 127[1] ; meurt en 106. — Wei K’ang, 104 ; dégradé en 100 (Wei K’ang avait été auparavant nommé marquis de I-tch’oen ; cf. plus haut, n° 19).
54. (33) Tch’ang-yo. — Tch’eou-tiao (avait la charge de ta-tang-hou chez les Hiong-nou ; s’était soumis à la Chine), 9 août 121. — Koang-han, 102[2].
55. (2) Tch’e-tchoang[3]. — Yo (officier Hiong-nou ayant fait sa soumission à la Chine), 3 novembre 129[4] ; meurt en 110[5] sans laisser de descendants.
56. (46) Tch’eng-ngan. — Han Yen-nien (est nommé marquis parce que son père, Han Ts’ien-ts’ieou, était mort en combattant les troupes du Nan-yue), 24 avril 112 ; dégradé en 105.
57. (35) Tchoang[6]. — Fou-lou-tche (ex-roi Hiong-nou), 15 juillet 119. — Yen, 114.
58. (24) Tchong-li. — Ho Hien (administrateur de la commanderie de Chang-kou, combattit les Hiong-nou), 1er juillet 123 ; dégradé en 121.
59. (36) Tchong-li[7]. — I-ki-hien, *Tche (ex-roi Hiong-nou), 15 juillet 119. — Tang, 105.
60. (67) Ti-ts’iu. — Han Yn[8] (ex-conseiller du roi de Tch’ao-sien), 18 mai 108[9].
61. (69) T’i-tse. — Ki-kou-kou (roi Jo-tsiu des petits Yue-tche
- ↑ Cette date est celle du Ts’ien Han chou (chap. XVIII, p. 6 v°). Les Mémoires historiques donnent la leçon fausse « le 2e mois », au lieu de « le 3e mois ».
- ↑ B (chap. XVII, p. 9 r°) : meurt en 96 avant J.-C. sans laisser de descendants.
- ↑ B (chap. XVII, p. 5 r°) : Tch’e-yuen.
- ↑ La date indiquée par le Ts’ien Han chou est inexacte, car il n’y eut pas de mois intercalaire dans la 1e année yuen cho. La date des Mémoires historiques est correcte.
- ↑ B (chap. XVII, p. 5 r°) : 116 avant J.-C.
- ↑ B (chap. XVII, p. 9 v°) : Tou.
- ↑ Ce fief est le même que le précédent. Le marquisat de Tchong-li était tombé en déshérence après la dégradation de Ho-hien ; c’est ce qui permit de nommer un nouveau titulaire.
- ↑ B (chap. XVII, p. 14 r°) : Han T’ao.
- ↑ B (chap. XVII, p. 14 r°) : meurt en 91 ; on ne sait pas qui fut son successeur.