bon nombre de cas et mettre sur la voie des falsifications. Introduits dans les préparations médicamenteuses elles-mêmes, ils ne possèdent aucune action physiologique, en raison de leurs faibles doses ; d’autre part, l’on ne peut craindre que les réactions désirées se produisent d’elles-mêmes à la température du corps humain, car il faut, pour qu’elles se produisent, des températures élevées comme celle de la flamme, ou l’intervention d’autres agents (acides sulfurique, azotique, etc.) qu’on est toujours libre de ne pas mettre en contact.
On voit, par ces quelques exemples, tout le parti que le clinicien pourrait retirer de l’introduction de certains réactifs anodins dans la formule de certaines préparations. Il me semble qu’on pourrait ainsi arriver à vérifier facilement une foule de préparations médicamenteuses.