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Page:Soury - Le système nerveux central, 1899.djvu/1799

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TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES

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ANTIQUITÉ. .
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Physiologie générale et spéciale. — Structure et fonctions des organes de la vie, de la sensibilité et de la pensée.

Alcméon de Crotone, 1. — Perception des sensalions par l’encéphale. Les « canaux » des sens ou nerfs, organes de transmission, 2. — Le papyrus Euens. Les vaisseaux cl les nerfs. Trailé du Cœur. Les « esprits vilaux » des anciens Egypliens, 3-4. — Doctrine de la nature spécifique des sens. Sensations et perceplions, 4. — Allections de la moelle épinière et du cerveau. Théorie du sommeil et de ta mort 5. — Physique et biologie d’Arcuéon. La sensibilité et l’intelligence dans le règne animal. Lixxé, 6. — Centres de projcclion ct d’association, Paul Fiecusic. Penser est la même chose que sentir, 5. — Le cerveau, organe central des perceplions des sens. Alcuf£on el un passage du Phédon sur les fonctions du cerveau, 8.

Psychologie physiologique homérique. Localisalion des sensations et de l’intelligence. Le diaphragme. Le cœur, g-10. — Notions sur les sutures du crâne : l’analomie ct la physiologie normales el pathologiques de l encéphale au ve siècle, 11. — Psychologie morbide d’Ilérovortr, 11-14. — Les centres phréniques ct le délire. Hérédilé des maladies mentales et nerveuses, 14. Hivvox l’Athée, 14-16. — Guinèue. Unité de subslance des deux règnes organiques. Nalure élémentaire de l’âme. 15. — Le sang. siège de l’âme, 16. — L’homme, partie de la nature, comme Îles animaux ct les végélaux ; les plantes vivent et sentent, 16. — La matière sent ct ‘pense dans les organismes comme celle vil et se meul en eux ct dans le reste du monde. Conceplion hylozoïsle. Étcrnité de l’Être ou matière première (eau, air, feu. etc.) Diférenciation de l’homogène. Retour périodique à l’homogène. Rien n’exisle, tout devient. Ni fin ni plan de la nature et des ètres. Généralions ct destructions périodiques des mondes. Théorie naturaliste de la connaissance, 15-18. Trazës de Milel, 18-23. — Cosmogonies athées de Lous les anciens physiologues hellënes, 19-22. ANaxIMANDHE do Milel, 24-25. Destruclion el retour de ce qui exisle à ce qui est élernellement. Injuslice el expialion de l’existence, 22. — Origine des èlres organisés (Végélaux, Poissons, Repliles, cle.) au sein des mers. Descendance de l’Homme. Paruéxibe, Emrévorres, DévociTe, Aa-NAGORE, 39, — ANAXIMANDRE, Lauanck, Lygz et Danwix, 25. XésobuaxE, 25-27. — Toul vient de la Lerre et retourne à la Lerre. Paléontologie ; fossiles et pétrie

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ficalions (paléozoologie). Les eaux ont séjourné sur le sommet des montagnes. Catastrophes périvdiques. Production des êtres vivants du limon des eaux. Limites de l’intelligence humaine, 27. Uénacure d’Ephèse le Physicien. 25-34. — La gucrre, lulie aveugle des contraires, père de l’histoire du monde, suite d’extinclions cl d’embrasemenis périodiques ; succession fatale des périodes cosmiques. Néant des idées de finalité où de raison des choses. L’Etre, c’est-à-dire le leu, représenté sous la forme d’un Enfant passant l’éternité à faire el à défaire des tus de sable, 27-28. — Le naturalisme des physiologues iontens, 18-30. — Nalure des sensulions el des perceplions. Ericnaume de Cos, 30-31. — L’âme sèche ct chaude et l’Ame humide. C’est par la respiralion el les canaux des sens que l’intelligence pénètre de l’atmosphère duns les corps organisés. 41. — Organes des sens. sensibilité, mémoire el oubli, le sommeil et les rêves, la vie et la mort, 32. — Philosophie sociale et polilique d’Hénaciire. Ilaine de la démacralie. Beaucoup de méchauts. peu de bons : la plupart vivent comme lo bétail : ils naissent, procréent et meurent, 31. — Les hommes ne seraient pas plus heureux si Lous leurs souhails étaient accomplis. 32. — Doctrine de l’élerucl écoulement des choses. Hien n’est, toul devient. Pres irae d Hl£uaciare, 33.

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Pauuéxive, 34-936. — Physique. Identité de lu pensée et de l’être. Psychologie. Toute distincliun