Page:Souza - La Poésie populaire et le Lyrisme sentimental, 1899.djvu/34

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sillon des moissons prochaines : trop de bruit sauvage toutefois déshonore le recueillement des champs et fausse par instants les voix qui mènent les charrues. Il ne faut pas craindre de le dire, de s’en indigner, de protester contre les fantasias, les guerillas des mercantis toujours prêts à fondre des cimes : peut-être, ontils fait souvent rebrousser chemin aux grelots guettés de la vieille diligence publique… Et si l’étude présente n’avait d’autre mérite que d’offrir une critique qui fut, bien qu’affirmatrice, dégagée de tout personnalisme sectaire, elle ne nous paraîtrait pas négligeable.

Dès aujourd’hui, on peut formuler quelles eussent été les conclusions du livre :