Page:Stendhal - De l’amour, II, 1927, éd. Martineau.djvu/112

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ciel d’accorder aux femmes, pour leur bien, huit ou dix heures de sommeil de plus. Dans la situation actuelle de la société, le loisir, qui pour l’homme est la source de tout bonheur et de toute richesse, non seulement n’est pas un avantage pour les femmes, mais c’est une de ces funestes libertés dont le digne magistrat voudrait aider à nous délivrer.