Page:Stendhal - Lamiel, éd. Stryienski, 1889.djvu/189

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de la duchesse, et elle s’habilla pour préparer du thé. Ces bonnes gens pensèrent qu’il était mieux de ne point faire de compliments à la grande dame ; le mari monta le thé dans la chambre du second étage, demanda les ordres de madame et prit congé en faisant mille salutations bien nobles.