Page:Stendhal - Vie de Rossini, Lévy, 1854.djvu/113

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orchestre qui méprise les nuances et regarde le piano comme un signe de faiblesse [1].


  1. En parlant avec la généralité que l’on trouve dans ce chapitre, je sais bien que je prête le flanc à la critique de mauvaise foi, Pour lui ôter l’arme de la plaisanterie, et rendre ses attaques réellement difficiles, il aurait fallu augmenter de cinquante pages de phrases incidentes et explicatives, ce chapitre, déjà peut-être assez ennuyeux : c’est ce que je décline de faire ; et, avec une vertu vraiment romaine, je m’immole pour le salut de mon lecteur.