Page:Stendhal - Vies de Haydn, de Mozart et de Métastase, 1928, éd. Martineau.djvu/334

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tous les deux ensemble, on ne trouverait pas encore de quoi faire un Haydn. »

Un peintre, voulant flatter Cimarosa, lui dit un jour qu’il le regardait comme supérieur à Mozart. « Moi, monsieur, répliqua-t-il vivement ; que diriez-vous à un homme qui viendrait vous assurer que vous êtes supérieur à Raphaël ? »