Page:Stern - Esquisses morales, 1880.djvu/377

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Répandre dans ton sein cette vertu secrète
Par qui lui soit rendu le repos qui l’a fui.
Mais, en sondant, hélas ! et mon cœur et ma vie,
Je vois trop à quel prix le trouble m’est ôté,
Et d’où me vient la paix que ta jeunesse envie !…
Que Dieu te garde, enfant, de ma sérénité !